Les causes de l'endométriose
Les causes de l’endométriose ne sont toujours pas clairement identifiées actuellement, mais plusieurs hypothèses existent.
1./ Le reflux menstruel :
Au moment des règles, le sang provenant de la paroi de l’utérus (appelée endomètre) est censé s’évacuer naturellement, causant les pertes de sang communément appelées règles. Chez les femmes souffrant d’endométriose, ce sang ne s’évacuerait pas intégralement et une partie refluerait vers les trompes, emportant avec lui les cellules d’endomètre, ce qui causerait leur implantation sur celles-ci et l’ensemble des organes reproducteurs.
Cette hypothèse largement diffusée et cependant remise en question actuellement est en passe d’être abandonnée car elle n’explique pas la présence de cellule d’endométriose en dehors des organes reproducteurs..
2./ La métaplasie :
Les cellules d’autres organes, comme ceux du péritoine, se transformeraient en endomètre sous l’effet d’un phénomène inexpliqué.
On retrouve ici la même hypothèse que pour le cancer : un beau jour, une cellule dysfonctionne sans qu’on ne sache vraiment pourquoi ni comment.
Cette hypothèse explique pourquoi les cancérologues sont si bien placés pour nous prendre en charge.
3./ La transplantation de cellules endométriales*.
Des cellules de l’endomètre parcourraient le système vasculaire ou lymphatique du corps et iraient coloniser d’autres organes.
Ceci expliquerait par exemple les récidives après les actes chirurgicaux ou la présence d’endométriose sur les cicatrices opératoires.
4./ L’hérédité :
Bien souvent, une femme atteinte d’endométriose aura dans les membres de sa famille, une ou plusieurs autres femmes elle-même atteintes. De même, malheureusement, la maladie peut être transmise à ses filles.
5. L’environnement :
Les substances dites « perturbateur endocrinien » (plastiques, pesticides, dioxine..) seraient à l’origine de ce trouble de la reproduction. De nombreuses études font le lien entre ces molécules et l’endométriose.
* cellules endométriales : cellules qui composent la paroi de l’utérus appelée endomètre.
1./ Le reflux menstruel :
Au moment des règles, le sang provenant de la paroi de l’utérus (appelée endomètre) est censé s’évacuer naturellement, causant les pertes de sang communément appelées règles. Chez les femmes souffrant d’endométriose, ce sang ne s’évacuerait pas intégralement et une partie refluerait vers les trompes, emportant avec lui les cellules d’endomètre, ce qui causerait leur implantation sur celles-ci et l’ensemble des organes reproducteurs.
Cette hypothèse largement diffusée et cependant remise en question actuellement est en passe d’être abandonnée car elle n’explique pas la présence de cellule d’endométriose en dehors des organes reproducteurs..
2./ La métaplasie :
Les cellules d’autres organes, comme ceux du péritoine, se transformeraient en endomètre sous l’effet d’un phénomène inexpliqué.
On retrouve ici la même hypothèse que pour le cancer : un beau jour, une cellule dysfonctionne sans qu’on ne sache vraiment pourquoi ni comment.
Cette hypothèse explique pourquoi les cancérologues sont si bien placés pour nous prendre en charge.
3./ La transplantation de cellules endométriales*.
Des cellules de l’endomètre parcourraient le système vasculaire ou lymphatique du corps et iraient coloniser d’autres organes.
Ceci expliquerait par exemple les récidives après les actes chirurgicaux ou la présence d’endométriose sur les cicatrices opératoires.
4./ L’hérédité :
Bien souvent, une femme atteinte d’endométriose aura dans les membres de sa famille, une ou plusieurs autres femmes elle-même atteintes. De même, malheureusement, la maladie peut être transmise à ses filles.
5. L’environnement :
Les substances dites « perturbateur endocrinien » (plastiques, pesticides, dioxine..) seraient à l’origine de ce trouble de la reproduction. De nombreuses études font le lien entre ces molécules et l’endométriose.
* cellules endométriales : cellules qui composent la paroi de l’utérus appelée endomètre.
Pour aller plus loin :
- Un nouveau point de vue : l’endométriose est une affection de l’archimetra
- Rapport de l'OMS sur les perturbateurs endocriniens (publication du 19 février 2013)
Cliquez sur le lien qui vous intéresse dans la liste ci dessous pour accéder aux informations