Cette étude porte sur 14 600 femmes (ayant eu une grossesse naturelle), dont 8300 femmes en bonne santé et 5300 ayant de l'endométriose, sur une durée de 30 ans.
Cette étude démontre que les femmes atteintes d'endométriose ont plus de risques de complications pendant la grossesse ; en particulier plus de risque de fausse couche.
60 a 70% des femmes atteintes d'endométriose auront une grossesse naturelle tout de même.
Cette augmentation du risque serait la conséquence d’une inflammation du pelvis, et de modifications structurelles de la paroi de l’utérus.
« Nous pensons que de telles modifications de l’environnement du pelvis et de l’utérus peuvent influencer l’implantation et le développement du placenta, ce qui les prédispose à une mauvaise issue de la grossesse », a expliqué le Dr Saraswat.
Pour aller plus loin :
- Article en Français paru sur le site Pourquoi Docteur .
-Article en Anglais paru sur le site Endometriosis.org .