Les dangers des analogues GNRH
Il nous semble important et même essentiel que chacune puisse choisir son axe thérapeutique en connaissance de cause, en assumant les conséquences possibles, mais surtout en ayant toutes les informations sur lesdits traitements. Pour en avoir discuté avec de nombreux médecins dignes de confiance, bien souvent eux-mêmes ne sont pas informés correctement sur les dangers liés à ce type de produits. Il est donc nécessaire que ces informations circulent et que vous y ayez accès.
Traitements prescrits d’une main légère par la plupart des gynécologues et spécialistes, présentés comme LA solution, le Décapeptyl et ses homonymes sont loin d’être aussi anodins qu’on croit.
Si je me base sur mon expérience personnelle, je peux dire que leur seule efficacité a été de me faire grossir, énormément, de me faire connaître les affres de la dépression et d’avoir fait de moi une experte de la ménopause avant mes 25 ans. Mais d’amélioration de mon état, je n’ai rien vu. Et de guérison encore moins.
De tous les témoignages que nous recueillons, nous pouvons affirmer que très peu de femmes ayant une endométriose sévère ont vu une amélioration grâce à ce type de produits…
Pour vous faire votre propre opinion, et pouvoir choisir en tout état de cause le traitement qui vous est proposé, nous ne pouvons que vous inviter à lire le blog Pharmacritique, qui est certes plutôt alarmiste mais dit des choses que personne ne nous dit jamais et qu’il faut pourtant savoir quand on a recours à ces traitements et vous inciter à parcourir aussi le blog des Victimes de l’Enantone. On apprend beaucoup de choses ce qui nous permet d’en comprendre d’autres…
Mais il nous semble important d’attirer votre attention sur le fait que ces traitements ne peuvent pas être rejetés en bloc pour autant. Certains témoignages de femmes ayant une endométriose légère nous ont montré que cela avait été la bonne solution pour elles. D’autres nous ont confié que la pause que ça leur offrait dans leurs douleurs était précieuse malgré les effets secondaires. Enfin, pour d’autres ces traitements ont été utilisé très ponctuellement, dans des situations particulières qui justifiaient le recours à ce type de produits et pour lesquelles le rapport bénéfice/risque était bon.
Il est donc impératif que vous vous fassiez votre propre idée, que vous discutiez beaucoup de cette option avec votre médecin, que vous ayez bien compris pourquoi ce traitement vous était prescrit et quels en étaient les risques avant de prendre votre décision. Vérifiez que ce n’est pas la solution de facilité parce que le médecin ne sait plus quoi faire pour vous mais bien une réponse précise à un besoin spécifique.
A savoir :
Sur la notice du Décapetyl LP 11,25 mg on peut lire dans la section "Endométriose à localisation génitale et extragénitale (du stade I au stade IV)" :
"La durée du traitement est limitée à 6 mois (cf Effets indésirables). Il n'est pas souhaitable d'entreprendre une seconde cure par la triptoréline ou par un autre analogue de la GnRH. [...] Durée du traitement : elle dépend de la gravité initiale de l'endométriose et de l'évolution sous traitement de ses manifestations cliniques (fonctionnelles et anatomiques). En principe, elle est de 3 mois au moins et de 6 mois au maximum. Il n'est pas souhaitable d'entreprendre une deuxième cure par la triptoréline ou par les autres analogues de la GnRH."
On peut imaginer l'importance de l'information en ce qui concerne le fait de ne pas renouveler le traitement au vu de la répétition de la phrase.
Dans cette même notice, on peut ensuite lire à la section effets indésirables :
" L'utilisation des agonistes de la GnRH peut provoquer une diminution de la densité minérale osseuse. [...] Des précautions particulières sont nécessaires chez les patients qui ont des facteurs de risque d'ostéoporose additionnels (par exemple, alcoolisme chronique, tabagisme, traitements à long terme avec des médicaments qui réduisent la densité minérale osseuse, comme par exemple les anticonvulsivants ou les corticoïdes, antécédents familiaux d'ostéoporose, malnutrition). Il est indispensable de vérifier l'absence de grossesse avant toute prescription de Décapeptyl LP 11,25 mg. Rarement, le traitement par les analogues de la GnRH peut révéler la présence jusque là inconnue d'un adénome hypophysaire gonadotrope. Ces patients peuvent présenter une apoplexie pituitaire se caractérisant par l'apparition d'une céphalée soudaine, de vomissements, de troubles visuels et d'une ophtalmoplégie. Des cas de troubles de l'humeur y compris de dépression ont été rapportés. Les patients qui souffrent de dépression doivent faire l'objet d'un suivi adapté pendant le traitement. Décapeptyl LP 11,25 mg contient du sodium. Le taux de sodium est inférieur à 1 mmol (23 mg) par dose, c'est à dire « sans sodium ». La prudence est requise chez les patients traités par des anticoagulants en raison du risque potentiel d'hématome au site d'injection. [...]
Chez la femme : il est indispensable de vérifier l'absence de grossesse avant toute prescription de Décapeptyl LP 11,25 mg. L'utilisation des agonistes de la GnRH est susceptible de provoquer une diminution de la densité minérale osseuse. Cette réduction est d'environ 1 % par mois, au cours d'un traitement de 6 mois. Une réduction de 10 % de la densité minérale osseuse est corrélée à une multiplication du risque de fracture par 2 à 3. Chez la majorité des femmes, les données actuellement disponibles suggèrent que l'arrêt du traitement s'accompagne d'une récupération de la densité osseuse. Aucune donnée spécifique n'est disponible chez les patientes qui ont déjà une ostéoporose ou qui ont des facteurs de risque d'ostéoporose (par exemple, alcoolisme chronique, tabagisme, traitements à long terme avec des médicaments qui réduisent la densité minérale osseuse, comme par exemple les anticonvulsivants ou les corticoïdes, antécédents familiaux d'ostéoporose, malnutrition liée par exemple à une anorexie mentale). Comme la réduction de la densité minérale osseuse est susceptible d'être plus néfaste chez ces patientes, l'instauration d'un traitement par la triptoréline devra être soigneusement évaluée au cas par cas en s'assurant que le bénéfice attendu est supérieur au risque. Des mesures supplémentaires visant à limiter la perte de densité minérale osseuse pourront être envisagées. L'administration de Décapeptyl LP 11,25 mg entraîne constamment une aménorrhée hypogonadotrophique. La survenue de métrorragies au cours du traitement en dehors du premier mois est anormale, elle doit conduire à la vérification du taux d'oestradiol plasmatique et s'il est inférieur à 50 pg/ml, il faut rechercher d'éventuelles lésions organiques associées. La patiente devra être informée qu'elle doit consulter son médecin en cas de persistance des règles. Une méthode de contraception non hormonale devra être utilisée tout au long du traitement et jusqu'au retour des règles (vcf Fertilité/Grossesse/Allaitement). Après l'arrêt du traitement, la fonction ovarienne reprend et l'ovulation survient environ 5 mois après la dernière injection."
Pourtant sur le blog Victime Enantone Décapeptyl on peut découvrir que les effets secondaires répertoriées ailleurs qu'en France sur les notices même des médicaments sont nettement plus poussés.
Aux Etats-Unis, il est mentionné des problèmes cardio-vasculaires, sur la santé mentale, gastro intestinaux, dermatologique, urinogynécologique etc.
En Allemagne, ils sont classés par fréquences : "Bouffées de chaleur (50 à 80%). Changements de l’ECG (électrocardiogramme) (jusqu’à 19%). Dépression. Douleurs (jusqu‘à 19%). Douleur osseuse (début ou augmentation pendant le traitement) (11%). Ecchymoses. Erythème. Hyperhydrose (30%) (aussi transpiration nocturne). Impotence (20%). Instabilité émotionnelle. Maux de tête (très fréquents chez les femmes, fréquents chez les hommes). Œdème (jusqu’à 12%). Œdème osseux (jusqu’à 12%). Perte de la libido (20%). Paresthésies (aussi au site de l‘injection). Réaction au site de l‘injection (14%), avec rougeur, œdème, prurit, paresthésie, etc. Spotting. Vaginite (jusqu‘à 28%), sécheresse vaginale. Vertiges (jusqu‘à 11%)" [sic]
sont très fréquents tandis que :
"Acné. Anémie (jusqu‘à 5%). Anomalies de l’hématopoïèse. Anxiété *. Arthralgies (2%). Asthénie (jusqu’à 10%). Azoospermie. Constipation (jusqu’à 7%). CPK élevée. Décharge vaginale. Douleur au site de l’injection. Douleur testiculaire. Etourdissements. Dyspnée (jusqu‘à 2%). Dysurie (1%). Elévation de la LDH. Elévation des gamma GT. Elévation des phosphatases acides. Elévation de la pression artérielle. Elévation des transaminases. Engorgement lymphatique (chez les femmes). Eruptions cutanées (jusqu‘à 9%). Faiblesse musculaire (8%). Fatigue (8%). Gynécomastie (6%). Hématurie (jusqu’à 6%). Hémorragie gastro-intestinale. Hypertension (jusqu‘à 8%). Hypertrophie de la poitrine (aussi diminution de la poitrine). Infection urinaire (3%). Infertilité masculine. Insuffisance cardiaque * Léthargie*. Mal de dos (2%). Myalgies (jusqu’à 3%). Nausée (jusqu‘à 5%). Nervosité. Nycturie. Oligurie. Perte de l’appétit (6%), chez les femmes. Phlébite (2%). Raideur. Rétention urinaire (obstruction urinaire, y compris au niveau rénal). Sensation d’évanouissement (jusqu‘à 5%). Thrombose (2%). Troubles de la coagulation sanguine (temps de coagulation prolongé). Troubles digestifs. Troubles gastro-intestinaux (jusqu’à 8%). Troubles menstruels. Troubles de la miction. Troubles sensoriels. Troubles du sommeil (jusqu‘à 7%). Vomissements (jusqu‘à 5%). " sont décrits comme communs. [sic]
Autant de choses qu'ils nous semblent important de connaître pour pouvoir les surveiller et y remédier si besoin. Car même si la notion de fréquence n'est pas forcément calculée de la même manière selon les pays, il n'empêche que ces effets secondaires ont été rapporté par plusieurs personnes, donc qu'ils existent...
Traitements prescrits d’une main légère par la plupart des gynécologues et spécialistes, présentés comme LA solution, le Décapeptyl et ses homonymes sont loin d’être aussi anodins qu’on croit.
Si je me base sur mon expérience personnelle, je peux dire que leur seule efficacité a été de me faire grossir, énormément, de me faire connaître les affres de la dépression et d’avoir fait de moi une experte de la ménopause avant mes 25 ans. Mais d’amélioration de mon état, je n’ai rien vu. Et de guérison encore moins.
De tous les témoignages que nous recueillons, nous pouvons affirmer que très peu de femmes ayant une endométriose sévère ont vu une amélioration grâce à ce type de produits…
Pour vous faire votre propre opinion, et pouvoir choisir en tout état de cause le traitement qui vous est proposé, nous ne pouvons que vous inviter à lire le blog Pharmacritique, qui est certes plutôt alarmiste mais dit des choses que personne ne nous dit jamais et qu’il faut pourtant savoir quand on a recours à ces traitements et vous inciter à parcourir aussi le blog des Victimes de l’Enantone. On apprend beaucoup de choses ce qui nous permet d’en comprendre d’autres…
Mais il nous semble important d’attirer votre attention sur le fait que ces traitements ne peuvent pas être rejetés en bloc pour autant. Certains témoignages de femmes ayant une endométriose légère nous ont montré que cela avait été la bonne solution pour elles. D’autres nous ont confié que la pause que ça leur offrait dans leurs douleurs était précieuse malgré les effets secondaires. Enfin, pour d’autres ces traitements ont été utilisé très ponctuellement, dans des situations particulières qui justifiaient le recours à ce type de produits et pour lesquelles le rapport bénéfice/risque était bon.
Il est donc impératif que vous vous fassiez votre propre idée, que vous discutiez beaucoup de cette option avec votre médecin, que vous ayez bien compris pourquoi ce traitement vous était prescrit et quels en étaient les risques avant de prendre votre décision. Vérifiez que ce n’est pas la solution de facilité parce que le médecin ne sait plus quoi faire pour vous mais bien une réponse précise à un besoin spécifique.
A savoir :
Sur la notice du Décapetyl LP 11,25 mg on peut lire dans la section "Endométriose à localisation génitale et extragénitale (du stade I au stade IV)" :
"La durée du traitement est limitée à 6 mois (cf Effets indésirables). Il n'est pas souhaitable d'entreprendre une seconde cure par la triptoréline ou par un autre analogue de la GnRH. [...] Durée du traitement : elle dépend de la gravité initiale de l'endométriose et de l'évolution sous traitement de ses manifestations cliniques (fonctionnelles et anatomiques). En principe, elle est de 3 mois au moins et de 6 mois au maximum. Il n'est pas souhaitable d'entreprendre une deuxième cure par la triptoréline ou par les autres analogues de la GnRH."
On peut imaginer l'importance de l'information en ce qui concerne le fait de ne pas renouveler le traitement au vu de la répétition de la phrase.
Dans cette même notice, on peut ensuite lire à la section effets indésirables :
" L'utilisation des agonistes de la GnRH peut provoquer une diminution de la densité minérale osseuse. [...] Des précautions particulières sont nécessaires chez les patients qui ont des facteurs de risque d'ostéoporose additionnels (par exemple, alcoolisme chronique, tabagisme, traitements à long terme avec des médicaments qui réduisent la densité minérale osseuse, comme par exemple les anticonvulsivants ou les corticoïdes, antécédents familiaux d'ostéoporose, malnutrition). Il est indispensable de vérifier l'absence de grossesse avant toute prescription de Décapeptyl LP 11,25 mg. Rarement, le traitement par les analogues de la GnRH peut révéler la présence jusque là inconnue d'un adénome hypophysaire gonadotrope. Ces patients peuvent présenter une apoplexie pituitaire se caractérisant par l'apparition d'une céphalée soudaine, de vomissements, de troubles visuels et d'une ophtalmoplégie. Des cas de troubles de l'humeur y compris de dépression ont été rapportés. Les patients qui souffrent de dépression doivent faire l'objet d'un suivi adapté pendant le traitement. Décapeptyl LP 11,25 mg contient du sodium. Le taux de sodium est inférieur à 1 mmol (23 mg) par dose, c'est à dire « sans sodium ». La prudence est requise chez les patients traités par des anticoagulants en raison du risque potentiel d'hématome au site d'injection. [...]
Chez la femme : il est indispensable de vérifier l'absence de grossesse avant toute prescription de Décapeptyl LP 11,25 mg. L'utilisation des agonistes de la GnRH est susceptible de provoquer une diminution de la densité minérale osseuse. Cette réduction est d'environ 1 % par mois, au cours d'un traitement de 6 mois. Une réduction de 10 % de la densité minérale osseuse est corrélée à une multiplication du risque de fracture par 2 à 3. Chez la majorité des femmes, les données actuellement disponibles suggèrent que l'arrêt du traitement s'accompagne d'une récupération de la densité osseuse. Aucune donnée spécifique n'est disponible chez les patientes qui ont déjà une ostéoporose ou qui ont des facteurs de risque d'ostéoporose (par exemple, alcoolisme chronique, tabagisme, traitements à long terme avec des médicaments qui réduisent la densité minérale osseuse, comme par exemple les anticonvulsivants ou les corticoïdes, antécédents familiaux d'ostéoporose, malnutrition liée par exemple à une anorexie mentale). Comme la réduction de la densité minérale osseuse est susceptible d'être plus néfaste chez ces patientes, l'instauration d'un traitement par la triptoréline devra être soigneusement évaluée au cas par cas en s'assurant que le bénéfice attendu est supérieur au risque. Des mesures supplémentaires visant à limiter la perte de densité minérale osseuse pourront être envisagées. L'administration de Décapeptyl LP 11,25 mg entraîne constamment une aménorrhée hypogonadotrophique. La survenue de métrorragies au cours du traitement en dehors du premier mois est anormale, elle doit conduire à la vérification du taux d'oestradiol plasmatique et s'il est inférieur à 50 pg/ml, il faut rechercher d'éventuelles lésions organiques associées. La patiente devra être informée qu'elle doit consulter son médecin en cas de persistance des règles. Une méthode de contraception non hormonale devra être utilisée tout au long du traitement et jusqu'au retour des règles (vcf Fertilité/Grossesse/Allaitement). Après l'arrêt du traitement, la fonction ovarienne reprend et l'ovulation survient environ 5 mois après la dernière injection."
Pourtant sur le blog Victime Enantone Décapeptyl on peut découvrir que les effets secondaires répertoriées ailleurs qu'en France sur les notices même des médicaments sont nettement plus poussés.
Aux Etats-Unis, il est mentionné des problèmes cardio-vasculaires, sur la santé mentale, gastro intestinaux, dermatologique, urinogynécologique etc.
En Allemagne, ils sont classés par fréquences : "Bouffées de chaleur (50 à 80%). Changements de l’ECG (électrocardiogramme) (jusqu’à 19%). Dépression. Douleurs (jusqu‘à 19%). Douleur osseuse (début ou augmentation pendant le traitement) (11%). Ecchymoses. Erythème. Hyperhydrose (30%) (aussi transpiration nocturne). Impotence (20%). Instabilité émotionnelle. Maux de tête (très fréquents chez les femmes, fréquents chez les hommes). Œdème (jusqu’à 12%). Œdème osseux (jusqu’à 12%). Perte de la libido (20%). Paresthésies (aussi au site de l‘injection). Réaction au site de l‘injection (14%), avec rougeur, œdème, prurit, paresthésie, etc. Spotting. Vaginite (jusqu‘à 28%), sécheresse vaginale. Vertiges (jusqu‘à 11%)" [sic]
sont très fréquents tandis que :
"Acné. Anémie (jusqu‘à 5%). Anomalies de l’hématopoïèse. Anxiété *. Arthralgies (2%). Asthénie (jusqu’à 10%). Azoospermie. Constipation (jusqu’à 7%). CPK élevée. Décharge vaginale. Douleur au site de l’injection. Douleur testiculaire. Etourdissements. Dyspnée (jusqu‘à 2%). Dysurie (1%). Elévation de la LDH. Elévation des gamma GT. Elévation des phosphatases acides. Elévation de la pression artérielle. Elévation des transaminases. Engorgement lymphatique (chez les femmes). Eruptions cutanées (jusqu‘à 9%). Faiblesse musculaire (8%). Fatigue (8%). Gynécomastie (6%). Hématurie (jusqu’à 6%). Hémorragie gastro-intestinale. Hypertension (jusqu‘à 8%). Hypertrophie de la poitrine (aussi diminution de la poitrine). Infection urinaire (3%). Infertilité masculine. Insuffisance cardiaque * Léthargie*. Mal de dos (2%). Myalgies (jusqu’à 3%). Nausée (jusqu‘à 5%). Nervosité. Nycturie. Oligurie. Perte de l’appétit (6%), chez les femmes. Phlébite (2%). Raideur. Rétention urinaire (obstruction urinaire, y compris au niveau rénal). Sensation d’évanouissement (jusqu‘à 5%). Thrombose (2%). Troubles de la coagulation sanguine (temps de coagulation prolongé). Troubles digestifs. Troubles gastro-intestinaux (jusqu’à 8%). Troubles menstruels. Troubles de la miction. Troubles sensoriels. Troubles du sommeil (jusqu‘à 7%). Vomissements (jusqu‘à 5%). " sont décrits comme communs. [sic]
Autant de choses qu'ils nous semblent important de connaître pour pouvoir les surveiller et y remédier si besoin. Car même si la notion de fréquence n'est pas forcément calculée de la même manière selon les pays, il n'empêche que ces effets secondaires ont été rapporté par plusieurs personnes, donc qu'ils existent...
Sources :
Vidal - Blog Victime Enantone - Blog pharmacritique
Pour aller plus loin :
- Notice professionnelles des laboratoire Merck pour le Lupron (Lupron est le nom anglo-saxon des analogues GnRH)
- Déclaration de Berlin sur la pharmacovigilance
Vidal - Blog Victime Enantone - Blog pharmacritique
Pour aller plus loin :
- Notice professionnelles des laboratoire Merck pour le Lupron (Lupron est le nom anglo-saxon des analogues GnRH)
- Déclaration de Berlin sur la pharmacovigilance