Soulager les douleurs d’endométriose autrement

Qu’on est envie de retarder la prise de médicament ou de les aider à être plus efficaces, ou bien parce qu’on refuse de continuer les traitements allopathiques traditionnels, il est bon de savoir que d’autres techniques, d’autres solutions peuvent aider. Voici quelques idées coup de pouces…

Face aux règles douloureuses

Réflexologie et endométriose

Alimentation et endométriose

8 réflexions sur “ Soulager les douleurs d’endométriose autrement ”

  1. Un chef de service m’a donné ENFIN la solution pour soulager la douleur : prendre un anti-inflammatoire (antadys pour moi) et EN MEME TEMPS 1g de paracétamol en période de crise.
    Cela a marché pour moi !

    1. bravo !! ça fait plaisir de lire ça… Mais pensez bien à ne les réserver qu’au période de crise… L’association de ces deux médicaments doit rester ponctuelle
      Lilli MA.

  2. Bonjour,
    je souffre d’endométriose depuis bientôt une dizaine d’années. J’ai la « chance » de n’avoir des douleurs que lors de mes règles et la semaine précédant, et si l’antadys me soulage en partie, aller aux toilettes et notamment à la selle restait un moment extrêmement douloureux. Le moindre changement de volume dans cette partie de mon corps entraînait des spasmes et des contractions terribles de l’utérus, du rectum et du périnée. J’en arrivais à paniquer lorsque je commençais à ressentir l’envie d’aller me soulager.
    Mon astuce, toute bête, mais qui a incroyablement aidé : positionner mes deux mains l’une sur l’autre, paumes contre mon bas-ventre, et exercer progressivement une pression assez forte. La maintenir durant tout le temps du « passage aux toilettes ». J’ai la sensation que, du fait de la pression exercée, les muscles n’ont plus « l’espace » nécessaire à leur contraction. Je sens toutefois les muscles réagir, mais comme je les « écrase », ils ne peuvent générer de spasmes. Si je relâche cependant : les contractions se déclenchent immédiatement et il ne m’est plus possible d’exercer de nouveau une pression, les muscles étant durcis par les spasmes.
    Pour moi, cette méthode vaut de l’or : je ne me tord plus comme une damnée sur mes toilettes. Cela fonctionne aussi, bien entendu, n’importe où ailleurs
    Attention cependant à ne pas appuyer brutalement sur le bas-ventre mais de façon progressive, et à ce que la pression soit ferme mais pas excessive. L’objectif n’est pas de distendre la vessie ou autre. Il faudra que je demande l’avis de mon gynécologue sur cette pratique, il ne faudrait pas que cela fasse plus de mal que de bien. Pour le moment cependant, cela fait énormément de bien

  3. Bonjour,
    je souffre d’endométriose depuis bientôt une dizaine d’années. J’ai la « chance » de n’avoir des douleurs que lors de mes règles et la semaine précédant, et si l’antadys me soulage en partie, aller aux toilettes et notamment à la selle restait un moment extrêmement douloureux. Le moindre changement de volume dans cette partie de mon corps entraînait des spasmes et des contractions terribles de l’utérus, du rectum et du périnée. J’en arrivais à paniquer lorsque je commençais à ressentir l’envie d’aller me soulager.
    Mon astuce, toute bête, mais qui a incroyablement aidé : positionner mes deux mains l’une sur l’autre, paumes contre mon bas-ventre, et exercer progressivement une pression assez forte. La maintenir durant tout le temps du « passage aux toilettes ». J’ai la sensation que, du fait de la pression exercée, les muscles n’ont plus « l’espace » nécessaire à leur contraction. Je sens toutefois les muscles réagir, mais comme je les « écrase », ils ne peuvent générer de spasmes. Si je relâche cependant : les contractions se déclenchent immédiatement et il ne m’est plus possible d’exercer de nouveau une pression, les muscles étant durcis par les spasmes.
    Pour moi, cette méthode vaut de l’or : je ne me tord plus comme une damnée sur mes toilettes. Cela fonctionne aussi, bien entendu, n’importe où ailleurs
    Attention cependant à ne pas appuyer brutalement sur le bas-ventre mais de façon progressive, et à ce que la pression soit ferme mais pas excessive. L’objectif n’est pas de distendre la vessie ou autre. Il faudra que je demande l’avis de mon gynécologue sur cette pratique, il ne faudrait pas que cela fasse plus de mal que de bien. Pour le moment cependant, cela fait énormément de bien

  4. Achillée Millefeuille ma plante miracle!

    Cela fait plusieurs semaines que je réfléchis au meilleur endroit pour poster mon témoignage afin d’être lue par le plus grand nombre d’entre vous. Car si
    aujourd’hui j’ai trouvée ma plante miracle j’espère qu’elle pourra l’être aussi pour un maximum d’endogirls qui souffrent et supportent des douleurs que j’ai moi
    même supportées trop longtemps!
    Je suis atteinte d’endométriose depuis bientôt 30 ans. De très longues années de douleurs atroces et de traitements divers (paracétamol, pilule, anti-inflamatoires, tramadol, coelioscopies, analogues GNRH, dérivé de morphine, homéopathie, acupuncture, … ) sans succès! Avec une endométriose de stade IV et un kyste de 6cm récidivant sur l’ovaire gauche.
    Mais aujourd’hui c’est un message d’espoir que je souhaite vous apporter à toute! Yalla! Comme l’a très bien dit soeur Emmanuelle. Car après ce long combat épuisant et douloureux, au cours duquel je n’ai JAMAIS cessé d’avancer et d’espérer, et après plus de 6 mois sans presque aucunes douleur grâce à l’Achillée Millefeuille, me voilà à 42 ans enceinte de 4 mois comme par miracle!
    C’est grâce au témoignage d’un homme sur un forum que j’ai décidé de tester cette plante. Sa femme atteinte elle aussi d’endométriose sévère avec récidives de kyste à l’ovaire avait selon lui vu ce kyste disparaitre grâce à cette plante miracle. Alors je me suis dit pourquoi pas moi? Je devais tester car les douleurs étaient trop insupportables chaque mois au moment de mes règles et surtout de l’ovulation. Si intense que j’en vomissais et que j’avais envie de me taper la tête contre les murs! La moitié du mois à souffrir le martyr ce n’était plus possible!

    2002 : Première grossesse naturelle, mais première fausse couche à presque 3 mois, avec douleurs atroces pendant plus de 3 heures et perte de l’embryon dans les toilettes!
    2005 : Premiers examens et traitements hormonaux lourds en PMA pour 6 inséminations artificielles, sans succès.
    2006 :
    - Première kyste de 6cm à l’ovaire gauche.
    - Première ponction, très très douloureuse malgré l’anesthésie locale!
    - Premier résultat : c’est un kyste endométriosique!
    - Premières angoisses et recherches sur le net, mais enfin le nom d’une maladie à l’origine de toutes ces douleurs et cette fatigue chronique : l’endométriose!
    - Première coelioscopie pour « nettoyer » tout ca.
    - Premières cicatrices sur le corps.
    - Première ménopause artificielle (6 mois de galère et une séparation en prime!).
    2007 : Première pilule progestative avec un léger mieux côté douleur.
    2008 : Seconde grossesse naturelle mais inattendue, avec un amour d’homme, mais seconde fausse couche et même douleurs atroces malgré cette fois une
    intervention sous anesthésie générale.
    2009 :
    - Second kyste sur l’ovaire gauche et multiples adhérences côté droit.
    - Seconde coelioscopie. Endométriose de stade IV!
    - Seconde ménopause artificielle (seulement 3 mois, à ma demande).
    2011 :
    - Première crise de douleurs ultra violentes au boulot nécessitant une conduite aux urgences.
    - Troisième kyste à l’ovaire gauche. Oui oui, troisième récidive! Avec épanchement liquidien intra abdominal de celui-ci, d’où les douleurs insoutenables.
    - Premiers soulagements et bonheur grâce à un dérivé de morphine.
    - Premier rdv avec un grand chirurgien lyonnais.
    - Première coloscopie (Sans anesthésie! Un vrai bonheur!)
    - Second résultat : le rectum est atteint lui aussi, une troisième intervention serait délicate, une FIV serait la bonne solution. Non merci!!! Plus d’hormones! Je sens au fond de moi qu’un jour ça marchera!
    2012 :
    - Premier traitement homéopathique, sans succès.
    - Premières séances d’acupuncture, sans succès.
    - Premier fois que je pousse la porte d’un herboriste, devenu mon sauveur :), après six pharmacies, pour enfin trouver ma plante miracle : l’Achillée Millefeuille!
    - Première potion magique faite spécialement après étude de mon cas et de mon parcours, à base d’Achillée Millefeuille, d’Achemille et de Gattilier sous forme de sirop (2 bouchons par jour).
    2013 :
    - Premières règles et ovulations sans presque aucunes douleurs après 3 mois de potion magique et un peu de paracétamol!
    - Premières nuits complètes sans douleurs et journées sans fatigue!
    - Premières séances d’hypnose Ericksonienne sous les conseils de mon herboristes adoré.
    - Premières analyses sur mon parcours et vrai moment de « zénitude » et d’émotions fortes au cours de ces séances.

    Décembre 2013 : Troisième grossesse totalement miraculeuse pour laquelle j’entre dans mon 5ème mois aujourd’hui!
    Et même si pour cette grossesse j’ai encore des peurs et des doutes je me bats et j’y crois!
    Car ma nature optimiste me fait penser depuis bien longtemps que : « Dans la vie, il faut se battre et TOUJOURS y croire! »

    1. Bonjour Marilyn,
      j’ai lu ton témoignage avec beaucoup d’intérêt. J’ai également acheté de l’achillée millefeuille, que je prends en infusion lors de mes règles.
      J’aurais souhaité savoir si pour ta part tu en prenais tout au long de ton cycle ? Plusieurs fois par jour ? Durant ta grossesse ?
      Merci !

      1. Bonjour on me suspecte une endometriose…plusieurs kystes au sein et ovaires micro kistés. Douleurs lors de l ovulation et des regles. J ai egalement des problemes hormonaux. Je ne supporte pas la pilule en continue…j ai du arreter le traitement et souhaite prendre un traitement naturel a base d achillee millefeuille. Pourriez me donner l adresse de votre herboriste et me preciser votre traitement. Je vous remercie infiniment.

  5. Coucou,

    je suis dans « l’étape recherche » (suspiscion d’endo mais pas encore confirmée), j’ai presque 22 et à pas mal de fin (et quelques début) de règles j’ai des douleurs atroces dont certaines me conduisent à l’hôpital
    bref pour passer au sujet de cette page, pour moi spasfon et antadys n’ont aucun effet, paracétamol 1000 mg (donc 1g) rarement, MAIS le médicament (sous ordonnance par contre il me semble) c’est le CoDoliprane (doliprane contenant de la codéine je crois)
    le codoliprane en cachet à avaler (Non effervescent) que j’ai c’est (selon la boîte) : 400 mg pracétamol + 20 mg codéine
    ça a mis 1h30 avant de me soulager certes (je n’avais pris que ce médicament, pas d’autre en complément lors de la « crise ») mais c’est le seul qui ait fonctionné sur moi

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